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🙂 Plus je donne, plus je reçois, si je m'autorise à recevoir, car l'autre, c'est moi. Quand je fais un cadeau, c'est toujours pour me faire plaisir, l'autre n'est que mon miroir, il est à l'image de l'histoire que je me fais d'elle ou de lui. Je change l'histoire, je change la relation.
🙂 Je me suis déjà refusé d'avouer mon amour pour une personne, car elle était déjà en couple. Ceci est le schéma typique de la matrice qui nous apprend à croire que nous ne pouvons pas tout avoir et se contenter de ce qu'on a.
Ce comportement peut mener à la dépression, voir au suicide par amour. C'est naturel d'être en amour. Quand j'ai réussi à discipliner mon subconscient qu'il peut avoir la relation qu'il désire parce que je suis un être multidimensionnel et que j'existe dans toutes les réalités des personnes qui m'aiment, je peux être avec qui je veux en amour.
Cette personne est quand même en couple avec une autre personne dans une autre réalité.
La différence, c'est que pour être en couple avec cette personne, je n'agis pas dans l'illusion, sinon je me positionne en tant que "victime, bourreau ou sauveur".
Je prends conscience de mon pouvoir créateur, je m'imagine comme vivant déjà cette relation dans mon imagination, j'entretiens ces images mentales, ce qui me permet de ressentir la joie, je vibre la joie, la vie m'apporte les circonstances validant ma joie, ma relation se matérialise dans l'illusion de la matière avec la personne désirée.
🙂 Que je le veuille ou non, dès que je regarde une personne, je lui attribue des étiquettes, une histoire. Dans ma tête, tout un tas de pensées se bousculent.
Avec mes 5 sens physiques, je lui associe tout un tas d'idées préconçues selon son langage verbal et non verbal. En quelques secondes, j'ai déjà un avis sur cette personne. Est-ce que je peux ou non lui faire confiance ?
L'affinité que je vais développer avec cette personne ne dépend que des histoires que j'ai déjà vécues. Cette relation se teinte directement de ce que je connais déjà. C'est ainsi que si la personne me plait, ce qui me plait en réalité est l'histoire que je me fais d'elle.
Quand une affinité s'installe, c'est que l'histoire que je me fais d'elle me renvoie en reflet ce que j'aime de moi.
Je n'aime jamais une autre personne, je n'aime que le reflet de moi que me renvoie cette personne.
Comme je suis l'évolution et que mon corps physique change à chaque instant suite aux histoires que je me raconte, pour que cette histoire d'amour dure avec l'autre, et qu'elle est mon reflet direct, ce n'est jamais que l'histoire que je me fais d'elle avec laquelle je dois m'harmoniser.
"Tu me connais", cette fameuse phrase est le produit de mon imagination pour satisfaire notre égo, que rien ne change, qu'il est en sécurité. Cette phrase est aussi le témoin direct que l'égo a besoin d'amour, il a toujours besoin d'amour, et si ce besoin d'amour n'est pas comblé par soi-même, il trouve sa dépense à l'amour dans l'histoire que je me fais de l'autre.
Je me rappelle ce que je suis et qui je suis à chaque instant, je suis à la fois le changement et celui qui change, comment pourrai-je alors me connaître ?
🙂 Il ne m'a pas été facile de savoir ce que je veux vraiment vivre, et je continue d'ailleurs. J'étudie la haute métaphysique, la science qui étudie les causes, contrairement à la physique quantique qui étudie les effets. Avec de la discipline, je remets mon mental/égo à sa place.
J'observe les pensées, paroles et les actions, ce qui me permet de percevoir les programmations obsolètes. Comme je ne vis que ce moment, toutes les mémoires se jouent aussi dans ce moment.
Je m'autorise à observer ce que je ressens, les réactions de mon égo face aux différences interactions. Ayant conscience que tout ce que je peux observer est ma création continue, je peux m'amuser à observer les autres comme étant mon propre reflet, cela me permet d'être présent à qui je suis, mon enfant intérieur, ce corps physique.
Je lui parle comme mon propre enfant : Je t'aime Roméo. Tu fais de ton mieux, je suis fier de toi, etc.
Cela me permet de vibrer ce que je suis, je donne de l'amour à mon égo.
Il me devient de plus en plus facile de repérer les processus psychologiques qui se jouent à travers le jeu de la matrice (victime, bourreau, sauveur).
J'observe aussi mon monde en tant que l'être multidimensionnel que je suis, cela me permet d'observer mon chef-d'œuvre vivant et de continuer à le façonner dans mon subconscient.
Qui parle ? Qui ressent ? Qui pense ? Qui fait ? Est-ce que mon mental a pris position ? Quelle position ? Pourquoi ?
À me poser ces questions toutes simples, mon enfant intérieur reprend sa place, il laisse son parent aux commandes. J'observe les mémoires qui se jouent en arrière-plan, des peurs peuvent se jouer, j'observe la pensée qui vient, je l'accueille, je la remercie, je modifie la pensée.
Avec l'habitude, des automates se créent et je me rends compte qu'il y a de plus en plus de schémas répétitifs. Je m'autorise à chaque instant d'observer ma respiration, d'imaginer même des mots, des phrases qui flottent dans les airs et de les avaler en les laissant imprégner chacune de mes cellules pour les réinformer. Oui, l'imagination est tout. La matière n'a rien de réel, elle n'est que sensation.
Je m'amuse à observer mon dialogue intérieur, et les mots qui sortent de ma bouche qui sont le résultat de l'amour que j'ai besoin de réintégrer. C'est parce que je n'ai pas encore reconnu ces mémoires obsolètes en moi que je les expulse afin de pouvoir les observer, les identifier, les transmuter pour les aimer et enfin les réintégrer comme une mise à jour pour me créer ma nouvelle réalité plus en accord avec ce que je suis et qui je suis.
🙂 Le vrai amour, c'est aimer sans condition, sinon c'est de la dépendance affective.
L'illusion que nous créons à chaque instant est de l'amour. Dans cette illusion, nous pouvons jouer tout un tas de rôle, dont un métier. Exercer un métier, c'est aussi de l'amour.
Pour reprendre le cadre comme dans une relation amoureuse, le fait d'exercer un métier ne devrait pas non plus être soumis à conditions comme de l'expérience ou diplôme. Tout cela est du conditionnement mental pour faire du moi une victime qui attend une validation de son bourreau.
L'amour sans condition, pour quoi que ce soit dans la vie, c'est de vibrer l'état d'esprit de la personne qualifiée.
Un mot n'est qu'un mot jusqu'à que je lui attribue une image mentale, une histoire.
Je prends exemple du métier "écrivain". C'est le mot "écrivain à laquelle j'ai choisi d'associer une histoire que l'on m'a inculquée, et que j'ai acceptée pour ma vérité. Toutes les langues sont basées sur cette construction mentale.
Quand j'affirme "Je suis un écrivain connu", immédiatement une histoire est associée à cette affirmation. Bien souvent, le seul chemin que je connais de cette histoire est le fait que je me sois formé pour devenir écrivain, même en autodidacte cela reste une formation.
Je me rappelle aussi que le cerveau ne fait aucune différence entre ce qu'il vit dans l'imagination que dans l'illusion de la matière. Le but contrôle le tout, je suis en paix. Le but crée l'énergie.
Je n'ai pas besoin de devenir écrivain sous condition d'apprentissage, je peux vibrer le fait que je suis un écrivain de renom.
Ce qui se passe quand j'affirme, c'est que comme je suis un être multidimensionnel, grâce à ma discipline à me convaincre par la répétition de l'affirmation "Je suis un écrivain de renom", je rejoins ce fameux "moi" qui est déjà cet écrivain de renom dans une illusion parallèle, une autre réalité parallèle si le mot "réalité" satisfait mieux ton égo.
Je sors du "piège" de la matrice qui me conditionne à devoir prouver ma valeur, pour "incarner" cette valeur.
Oui, je sais, ce n'est pas facile à conscientiser d'être multidimensionnel, c'est tout un jeu d'esprit. Tout ce que l'être humain peut croire et concevoir, il peut le réaliser. Nous vivons dans le monde d'Harry Potter sans le savoir, ce n'est pas pour rien que cette saga raisonne tant en nous, c'est qu'elle raisonne en notre cœur. 💫❤🙏